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Vrykolakas

Les vrykolakas (en grec moderne : βρικόλακας ou βρυκόλακας prononcé [vri'kolakas] ; en aroumain : vurculatsili ; en roumain : vârcolaci ; en serbe : vukodlak ; en bulgare et macédonien : Върколак, vǎrkolak ; en lituanien : vilkolakis, en russe et ukrainien : вурдалак ou врыколак : vourdalak[1] ou vrykolak), parfois transcrit broucolaque en français[2], sont, dans les Balkans et les pays slaves, des revenants corporels, l'équivalent local des zombies. Ils sont différents des vampires, apparus plus tard, car les vrykolakas ne vident pas les vivants de leur sang et ne les transforment pas en spectres, mais les méthodes pour s'en débarrasser sont pratiquement les mêmes que pour les vampires.

Le tableau de Johann Füssli « Le cauchemar » illustre bien la crainte des vrykolakas
  1. Léon Tolstoï écrivit en 1847 La Famille du Vourdalak, nouvelle fantastique publiée dans Histoires de morts-vivants.
  2. Joseph Pitton de Tournefort, dans le compte rendu d'un exorcisme à Myconos en 1723 (Un Voyage dans le levant)

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