Irak Arsenal nucléaire | |
Programme | |
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Date de lancement | 1959 |
Premier essai nucléaire | aucun |
Premier essai Bombe H | N/A |
Dernier essai nucléaire | N/A |
Statistiques | |
Charge nucléaire la plus élevée | N/A |
Nombre maximal d'armes nucléaires | N/A |
Nombre total d'essais nucléaires | N/A |
Arsenal courant | aucun, programme saboté par Israël et l'Iran. Programme officiellement puis définitivement abandonné dans les années 1990 (mission de l'ONU en Irak). |
Portée maximale | Al Hussein (644 km) |
Traités internationaux | |
Traités signés | Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) |
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Les armes de destruction massive en Irak sont un arsenal d'armements chimiques supposé, devenant l'argument déclencheur de l'invasion de l'Irak par les États-Unis en 2003. Colin Powell présente en effet le devant le Conseil de sécurité des Nations unies un dossier mensonger sur un programme de fabrication d'arme de destruction massive. Une fois l'invasion réalisée, des inspections de l'ONU sont effectuées sur le terrain sous la direction de Hans Blix, qui indique ne pas avoir trouvé d'armes de destruction massive en Irak, et ne pouvoir confirmer la poursuite effective du programme dans les années 2000.
Entre 2003 et 2011, seulement 5 000 munitions chimiques « périmées » ont été découvertes par les forces d'occupation américaines[1],[2],[3], dont certaines produites par les occidentaux.
En 2013, Hans Blix réaffirme qu'en Irak, « certains pays ont tenté d'éradiquer des armes de destruction massive qui n'existaient pas »[4]. Dans un entretien en 2013, Colin Powell déclare, au sujet des armes de destruction massive en Irak, que « Saddam Hussein (...) n'en possédait pas un gramme »[5].
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