Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le taux de maîtrise des deux langues chez un même individu étant plutôt bas (17,9 % en 2016[1]), le bilinguisme officiel est un moyen pour garantir l'épanouissement des minorités francophones et anglophones dans les régions unilingues du pays. Même si la majorité des provinces et territoires du Canada ont une langue qui prédomine fortement sur une autre, un réel bilinguisme est pratiqué dans la population au sein d'une « ceinture bilingue », à la rencontre du Québec, de prédominance francophone, et des provinces anglophones voisines.
↑Patricia Lamarre et Stéphanie Lamarre, « nouvelle économie et nouvelle technologie à montréal : entre protection et ouverture linguistique: », Langage et société, vol. n° 118, no 4, , p. 65–84 (ISSN0181-4095, DOI10.3917/ls.118.0065, lire en ligne, consulté le )