Titre québécois | Carrie |
---|---|
Titre original | Carrie |
Réalisation | Brian De Palma |
Scénario | Lawrence D. Cohen |
Musique | Pino Donaggio |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Redbank Films Metro-Goldwyn-Mayer |
Pays de production | États-Unis |
Genre |
Horreur Fantastique Drame |
Durée | 98 minutes[1] |
Sortie | 1976 |
Série
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Carrie au bal du diable (Carrie) est un film d'horreur américain réalisé par Brian De Palma, sorti en 1976. Il s'agit de l'adaptation de Carrie (1974), premier roman de l'écrivain Stephen King. Le film s'éloigne parfois ostensiblement du roman, alternant ellipses et ajouts dans l'histoire.
L'adolescente Carrie White (Sissy Spacek) est la souffre-douleur des élèves de son lycée mais, un jour, elle se découvre des pouvoirs de télékinésie après une énième humiliation que lui font subir ses pairs, certains enseignants et la torture psychologique de sa mère. Vient alors l'heure de la vengeance.
Le film a été un succès majeur aux États-Unis, rapportant plus de 33 millions de dollars au box-office américain, pour un budget de 1 800 000 dollars. C'est aussi un succès critique. D'un point de vue technique, il est un des premiers films à avoir mis en valeur un montage de scène par adjonction d'images simultanées, accroissant l'effet d'horreur des pouvoirs de Carrie lors du bal[réf. nécessaire].
Éloigné du genre de l'horreur mais croisé avec le style psychologique, ce film est l’un des plus dérangeants, étant même utilisé comme inspiration par des réalisateurs (Ari Aster, Jordan Peele…).