Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
La famille Ababou est une vieille famille[1],[2],[3],[4] originaire de Tamjount dans le Rif central au Maroc (commune de Boured au Maroc de la tribu des Igzennayen) dont les ramifications traditionnelles se retrouvent dans tout le Nord du Maroc de Fès jusqu'à l'ouest algérien. Orthographiée Aâbabou, Âbabou, Ababou ou plus rarement et en contradiction avec sa prononciation arabe, Hababou, le nom peut se voir accompagné d’un complément indiquant le lieu d’origine de la branche en question (Ababou Lyazrhi, Ababou el Jai, Ababou el Kouch…).
↑(ar) Mohamed Hajji, Maâlamat Al Maghri, Maroc, 1989-2003, entrée: famille Ababou
↑Zeroual Abdellatif, « Modernisation néolibérale et transformation du profil des dirigeants des entreprises publiques au Maroc.Cas de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) : 1959-2009 », Afrika Focus, vol. 27, no 2, , p. 23–47 (ISSN0772-084X et 2031-356X, DOI10.1163/2031356X-02702003, lire en ligne, consulté le )