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Gaston de Galliffet

Gaston de Galliffet
Gaston de Galliffet
Photographie de Gaston de Galliffet par Nadar.

Surnom « Marquis aux talons rouges »
« Massacreur de la Commune »
Nom de naissance Gaston Alexandre Auguste de Galliffet
Naissance
Ancien 10e arrondissement de Paris, Seine
Décès (à 78 ans)
8e arrondissement de Paris
Origine Français
Allégeance Drapeau de la France République française (1848-1852)
Drapeau de l'Empire français Empire français (1852-1870)
Drapeau français République française (1870-1899)
Grade Général de division
Années de service 18481899
Commandement 3e Régiment de chasseurs d'Afrique
15e Division d'Infanterie
9e Corps d'Armée
12e Corps d'Armée
Conflits Guerre de Crimée
Expédition du Mexique
Guerre de 1870
Campagne de 1871 à l'intérieur
Faits d'armes Siège de Puebla (1863)
Bataille de Sedan
Semaine sanglante
Distinctions Médaille militaire (1891)
Grand-croix de la Légion d'honneur (1887)
Autres fonctions Ministre de la Guerre (1899-1900)
Membre du Conseil supérieur de la guerre (1882-1894)
Président du Comité de cavalerie (1881-1885)
Famille Maison de Galliffet
Signature de Gaston de Galliffet

Liste des ministres français de la Défense

Gaston de Galliffet, marquis, prince de Martigues, né à Paris le [1] et mort dans cette même ville le , est un général de division français, grand-croix de la Légion d'honneur et médaillé militaire.

Officier de cavalerie qui s'est illustré durant l'expedition du Mexique, puis lors de la guerre de 1870 où il mène une charge héroïque de cavalerie à Sedan, il réprime brutalement la Commune de Paris en au cours de la semaine sanglante. Il participe par la suite à la réorganisation de l’armée après la guerre franco-allemande de 1870. Commandant de corps d'armée, et président du Comité de cavalerie de 1881 et 1885, il rénove la cavalerie française et en fait en quelques années la première d'Europe. Membre du Conseil supérieur de la guerre puis ministre de la Guerre dans le gouvernement de gauche de Waldeck-Rousseau en 1899-1900, il suit à ce titre une politique d’apaisement au cours de l'affaire Dreyfus.


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