Naissance | |
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Décès |
(à 64 ans) Bougival (Troisième République française) |
Sépulture |
Allées des écrivains du Cimetière Volkovo (Saint-Petersbourg) |
Nationalité | |
Formation |
Université de Berlin (d) (entre et ) Université impériale de Moscou (1755-1917) (en) Faculté de philosophie de l'université d'État de Saint-Pétersbourg Université Humboldt de Berlin |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Famille |
Maison Tourgueniev (d) |
Père |
Sergey Turgenev (d) |
Mère |
Varvara Petrovna Turgeneva (d) |
Fratrie |
A travaillé pour | |
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Propriétaire de | |
Membre de | |
Mouvement | |
Maître |
Nikolaï Guerassimovitch Oustrialov (en) |
Genres artistiques |
Nouvelle, récit (en), élégie, forme dramatique |
Ivan Sergueïevitch Tourgueniev (en russe : Иван Сергеевич Тургенев[1], [ɪˈvan sʲɪrˈɡʲeɪvʲɪtɕ turˈɡʲenʲɪf] Écouter) est un écrivain, romancier, nouvelliste et dramaturge russe né le 28 octobre 1818 ( dans le calendrier grégorien) à Orel et mort le 22 août 1883 ( dans le calendrier grégorien) à Bougival. Son nom était autrefois orthographié Tourguénieff[2] ou Tourguéneff[3].
Sa famille est aisée, et sa mère très autoritaire. Il vit de 1838 à 1841 à Berlin avant de retourner à Saint-Pétersbourg puis de partir pour Londres et de s'installer à Paris. Son roman le plus célèbre est Pères et Fils, qui met notamment en scène des nihilistes — dénomination qu'il popularise —, auxquels il oppose le « héros positif ».
Il se lia d’amitié avec de nombreux écrivains, comme Gustave Flaubert, Émile Zola, Victor Hugo, Guy de Maupassant, Harry Alis, Alphonse Daudet, George Sand, Edmond de Goncourt, Prosper Mérimée, Alexandre Dumas ou Jules Verne, ainsi qu’avec des musiciens et compositeurs.