J. M. Coetzee

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J. M. Coetzee

Biographie

Naissance	9 février 1940 (84 ans) Le Cap (Union d'Afrique du Sud)
Nom dans la langue maternelle	John Maxwell Coetzee
Nationalités	australienne (depuis 2006) sud-africaine
Formation	Université du Cap Université du Texas à Austin Université d'Adélaïde
Activités	Linguiste, scénariste, professeur d'université, poète, écrivain, librettiste, romancier, essayiste, traducteur, critique

Autres informations

A travaillé pour	Université du Cap (1972-2000) Université d'État de New York à Buffalo (1968-1971) Université nationale de San Martín Université de Chicago IBM Université Harvard
Membre de	Académie américaine des arts et des sciences Royal Society of Literature
Influencé par	William Faulkner
Distinctions	Prix James Tait Black (1980) Prix Nobel de littérature (2003) Liste détaillée Prix James Tait Black (1980) Prix ​​commémoratif Geoffrey Faber (en) (1981) Prix Booker (1983 et 1999) Prix Femina étranger (1985) Prix Jérusalem (1987) Prix Nobel de littérature (2003) Ordre de Mapungubwe, classe Or (2005) Christina Stead Prize for Fiction (2010) Chevalier des Arts et des Lettres Ordre de Mapungubwe Fellow de la Royal Society of Literature
Archives conservées par	Harry Ransom Center (en) (MS-00842)[1]

Œuvres principales

Michael K, sa vie, son temps

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J. M. Coetzee (Coetzee se prononce [kutˈsiə] en afrikaans moderne, mais Coetzee lui-même prononce [kutˈseː]. La BBC  préconise la prononciation [kʊtˈsiː] en anglais en se basant sur la prononciation de l'auteur^[2]), de son nom complet John Maxwell Coetzee, est un romancier et professeur en littérature australien, d'origine sud-africaine, et d'expression anglaise, né le 9 février 1940 au Cap en Afrique du Sud. Il est lauréat de nombreux prix littéraires de premier ordre dont le prix Nobel de littérature en 2003. Marquée par le thème de l'ambiguïté, la violence et la servitude, son œuvre juxtapose réalité politique et allégorie afin d'explorer les phobies et les névroses de l'individu, à la fois victime et complice d'un système corrompu qui anéantit son langage^[3],[4].