Coup de pied circulaire en ligne moyenne (« middle roundhouse-kick » en anglais) | |
Autres noms | • Low-kick (American kickboxing) • K-1 Style (Japanese kickboxing) |
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Domaine | Percussion – Discipline de la catégorie dite des « boxes pieds-poings » |
Forme de combat | • light-contact : techniques non appuyées – dénommé « light-contact français » • médium-contact : techniques légèrement appuyées – dénommé « light-contact international » • précombat à partir de « Cadet 15 ans et junior 1 » (16-17 ans) : techniques appuyées sans recherche de hors combat • plein-contact en catégorie « junior 2 » (18-20 ans) et « senior » (21-39 ans) : rencontre au K.-O.-System) |
Pays d’origine | États-Unis Japon |
Fondateur | • États-Unis : Comte Dante, Ray Scarica et Maung Gyi (1959) • Japon : Osamu Noguchi (1964), Kazuyoshi Ishii (K-1 (1993) |
Dérive de | Arts martiaux asiatiques (karaté, Taekwondo, etc.) et boxes pieds-poings de l’Asie du Sud-Est (boxe birmane et boxe thaïe, etc.) |
Pratiquants renommés |
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Sport olympique | Membre du SportAccord ou association générale des fédérations internationales de sports non olympiques organisant les Jeux mondiaux (GAISF ou AGFIS) |
Fédération mondiale | lien lien lien lien |
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Le kick-boxing est un sport de combat de percussion et appartenant au groupe dit des boxes pieds-poings (BPP)[1]. Il est développé et réglementé au début des années 1960 au Japon, appelé « kick-boxing japonais » avec tout type de coup de pied sur le membre inférieur, coups de genou direct, coups de coude et projections de judo, et parallèlement à la même époque aux États-Unis ou « kick-boxing américain » avec coup de pied circulaire à l’endroit en ligne basse – uniquement sur la cuisse.
Ces deux disciplines, notamment de compétition, ont été influencées par de nombreuses pratiques de combat extrême-orientales et également par les pratiques occidentales, notamment la boxe anglaise et la boxe française. Ces deux disciplines peuvent être assimilés à un art martial (Art de combat) compte tenu de leur origine et constitution. Elles ont été notamment pratiquées au début des années 1960 par les artistes martiaux en compétition de type « open multi-disciplines ».
La forme japonaise a pris un envol international dans les années 1990 et a été dénommée « kickboxing K1 » (avec la suppression des coups de coude et projections de judo permis au démarrage des années 1960). Sa représentativité la plus médiatique est le tournoi des plus de 93 kg (poids lourds) du K-1 World Grand Prix et le tournoi des moins de 70 kg (super-welters ou en français, super mi-moyens), le K-1 World MAX.
La forme nord-américaine s’est développée conjointement avec le full-contact nord-américain à l’occasion des tournois d’arts martiaux multi-disciplines au début des années 1960. Le règlement sportif dit transversal permet à tous les pratiquants de sports de combat de percussion de s’adapter à cette discipline.
Un pratiquant de kick-boxing se nomme un « kick-boxeur » (au féminin, une « kick-boxeuse »). Cette dénomination n’est pas à confondre avec le qualificatif de « kickeur » (Définition : combattant qui utilise en grande partie les techniques de coup de pied) a contrario de « boxeur » (combattant qui utilise essentiellement les techniques de coup de poing). La discipline s’écrit le plus couramment en français « kick-boxing » et en anglais « kickboxing » ou « kick boxing ».