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Phare d'Ault
Pour les articles homonymes, voir Ault.
Cet article est une ébauche concernant un phare, l’océan Atlantique et la Somme.
| Coordonnées | |
|---|---|
| Localisation |
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| Automatisation |
2001 |
|---|---|
| Patrimonialité |
Recensé à l'inventaire général |
| Gardienné |
non |
| Visiteurs |
non |
| Hauteur |
28 m |
|---|---|
| Élévation |
108 m |
| Lanterne |
Halogène 650 W |
|---|---|
| Optique |
Fixe, focale 0.50m |
| Portée |
17 milles (31 km) |
| Feux |
  |
 |
Le phare d'Ault ou phare d'Onival, construit sur la falaise d'Onival sur la commune d'Ault dans la Somme, a été mis en service en 1951. La première station de signalisation maritime avait été bâtie en 1885.
C'est une tour tronconique blanche en béton armé au sommet de briques rouges, avec galerie et lanterne. Il se situe sur le terrain militaire du sémaphore.
Il est automatisé depuis 2001 et contrôlé à partir du bureau de Saint-Valery-sur-Somme.
Il remplace l'ancienne construction bâtie en briques en 1885[1] et dynamitée le . Celui-ci était noir et blanc et s'élevait à plus de 100 m au-dessus du niveau de la mer.
Identifiant : ARLHS : FRA-175 - Amirauté : A1220 - NGA : 8800 .
En , après 27 ans de fermeture, le phare est ouvert à la visite. Il est à nouveau possible de gravir les cent marches qui mènent au sommet[2],[3].
- ↑ L'écart, actuellement le lotissement et la station balnéaire d'Onival, sur le site de l'Inventaire général du patrimoine culturel.
- ↑ Xavier Togni, « Phare : 27 ans plus tard, il rouvre au public », Courrier picard, , p. 15
- ↑ Corine Poiret-Mellier, « Le phare se visite de nouveau », Courrier picard, , p. 3 (lire en ligne)
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