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Cimetière de Gounghin, Ouagadougou |
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Pierre Ouédraogo, l’un des chefs historiques du Conseil National de la révolution (CNR) Capitaine au moment de la période révolutionnaire, le colonel à la retraite de l’armée de l’air a commandé les Comités de défense de la révolution (CDR) ; il était réputé être le 5e chef historique du CNR[1]. À la mort de Thomas Sankara le père de la révolution, un certain 15 octobre 1987, Pierre Ouédraogo a témoigné avoir été arrêté. Lors du procès de l’assassinat du chef historique de la révolution, Pierre Ouédraogo a affirmé avoir été détenu du 17 octobre 1987 au 17 mai 1988 avant d’être libéré, radié de l’armée et reversé comme enseignant affecté à Fada. Par la suite, cet ingénieur en télécommunications a occupé divers postes de responsabilités à l’ONATEL et à l’Organisation internationale de la Francophonie où il terminera comme Directeur de la Francophonie numérique. Pierre Ouédraogo était le président du Comité international du mémorial Thomas Sankara[2].