Monarchie
11 484 articles de Wikipédia sont actuellement consacrés à la Monarchie,
dont 66 articles de qualité et 96 bons articles répartis en 5 942 catégories catégories.
La monarchie est un système politique où l'unité du pouvoir est symbolisée par une seule personne, appelée monarque, elle est définie par un type de gouvernement absolu, mais ce pouvoir est limité par des lois, toutefois une loi martiale permet provisoirement tous les pouvoirs au monarque, qui regroupe les trois pouvoirs de l'État : législatif, exécutif et judiciaire.
S'il dirige le royaume lui-même avec ses ministres, il rend la justice par le biais de tribunaux et de cours, il édicte tous les textes législatifs que l'assemblée préconise quand il les regroupes lors des États-généraux.
En 2023 il existe dans le monde 28 monarchies (sur 193 États reconnus par l'ONU) en ne comptant pas quatorze des quinze monarchies des royaumes du Commonwealth (constitutionnellement pleinement distinctes mais incarnées par la même personne) et en ne comptant que les monarchies souveraines, mais non les royautés coutumières beaucoup plus nombreuses.
On en compte :
|
Catherine de Parthenay, née le au parc-Mouchamps et morte le dans le même lieu, est une humaniste française, femme d'un héroïsme antique, connue à son époque pour son engagement calviniste.
Parlant et écrivant le latin, le grec et l'hébreu, poétesse, dramaturge et mécène, elle est la descendante d'une lignée de femmes de la Renaissance, Michelle de Saubonne et Antoinette d'Aubeterre, qui alliaient l'érudition à la foi. Elle reçut vers onze ans les leçons du mathématicien François Viète, alors secrétaire de sa mère qui l'élevait. Mariée à quatorze ans au baron Charles de Quellenec, elle lui intentera (avec sa mère) un procès pour empêchement dirimant demeuré célèbre. Cependant, à la mort de son mari (lors de la Saint-Barthélemy), elle compose une élégie à sa gloire et à celle de l'Amiral de Coligny. Peu après, elle fait jouer dans La Rochelle assiégée une tragédie, Holopherne, dont il ne reste rien.
Douée pour les mathématiques et pour la littérature, elle fut mariée en secondes noces au vicomte René II de Rohan, dont elle eut six enfants. Veuve une seconde fois, elle se consacra à l'éducation de ses fils Henri II de Rohan et Soubise, et de ses filles, Anne, Catherine et Françoise, dans son château de Blain puis au parc-Mouchamps. Connue au grand siècle comme la mère des Rohan, elle reprocha son abjuration à Henri IV dans un pamphlet publié anonymement mais qui lui est unanimement attribué ; quelques années plus tard, elle déplorera sa mort dans un très beau poème. Tallement des Réaux en a laissé le portrait d'une femme lunatique et quelque peu décalée. Vers la fin de sa vie, elle combattra aux côtés de ses enfants pour faire respecter l'esprit de l'édit de Nantes, mais son parti sera vaincu à La Rochelle, après un siège héroïque, où l'on dit qu'elle et sa fille Anne mangèrent le cuir des chevaux. Emprisonnée puis exilée sur ses terres sur ordre de Louis XIII, elle mourra trois ans plus tard sur les lieux de sa naissance, âgée de soixante-dix-sept ans.
On la nomme, selon les époques de sa vie, Mlle Soubise, la baronne du Pont ou la mère des Rohan.
Autres articles sélectionnés au sein du portail MonarchieAh ! ça ira, ça ira, ça ira, refrain qui symbolise la Révolution française, fut entendu pour la première fois en mai 1790. Son auteur, un ancien soldat chanteur des rues du nom de Ladré, avait adapté des paroles anodines sur le Carillon national, un air de contredanse très populaire dû à Bécourt, violoniste au théâtre Beaujolais et que la reine Marie-Antoinette elle-même aimait souvent jouer sur son clavecin.
Le titre et le thème du refrain de cette chanson ont été inspirés par l’optimisme imperturbable de Benjamin Franklin, représentant très apprécié par le peuple français du Congrès des 13 colonies d’Amérique à Paris, du 22 décembre 1776 au 12 juillet 1785 qui, lorsqu’on lui demandait des nouvelles de la guerre d’Indépendance américaine, répondait invariablement dans son mauvais français : « Ça ira, ça ira » (pour l’anglais : It’ll be fine). À la Révolution, le texte fut transformé par les sans-culottes en apostrophes assassines à l’égard de l’aristocratie et du clergé. Le « Ça ira » survécut à thermidor et le Directoire ordonna même qu’on le chantât avant chaque spectacle. Il fut interdit sous le Consulat [réf. souhaitée].
« Élections libres (Pologne-Lituanie) »
Vous pouvez aussi essayez une nouvelle sélection.Article de qualité
Bon article
...
...