La psychologie du sport, en lien avec la médecine sportive, a pour objet l'étude des aptitudes mentales et psychologiques qui déterminent la performance sportive ou physique. Elle traite aussi des effets psychologiques, positifs et négatifs du sport dans ses différents contextes (compétition ou coopération, sport collectif ou plus ou moins individuels [comme le jogging récréationnel), en incluant les rôles des proches comme les coachs, parents, proches, coéquipiers éventuels, éducateurs, supporter et présence d'un public éventuellement hostile, perturbateur, source de risques (risque de chute durant une course cycliste par exemple) ou bruyant, etc.].
Dans le monde, de nombreuses entités, publiques, associatives ou privées s'occupent de psychologie du sport. Et la santé mentale des athlètes fait l'objet de nombreuses études.
Selon un document de consensus publié en 2018 sous l'égide de la Société internationale de psychologie du sport : « avec la reconnaissance croissante de ce que le sport d'élite peut, mais parfois ne peut pas, offrir à l'athlète, il existe un besoin important d'améliorer la compréhension de ce qu'est la santé mentale dans les contextes sportifs, de comment les chercheurs peuvent l'étudier et comment les organisations sportives peuvent fournir des environnements qui la soutiennent ».