H302+H312+H332, P280, P312, P301+P330+P331, P302+P352 et P304+P340
H302+H312+H332 : Nocif en cas d'ingestion, par contact cutané ou si inhalé P280 : Porter des gants de protection/des vêtements de protection/un équipement de protection des yeux/du visage. P312 : Appeler un CENTRE ANTIPOISON ou un médecin en cas de malaise. P301+P330+P331 : En cas d'ingestion : rincer la bouche. NE PAS faire vomir. P302+P352 : En cas de contact avec la peau : laver abondamment à l’eau et au savon. P304+P340 : En cas d'inhalation : transporter la victime à l’extérieur et la maintenir au repos dans une position où elle peut confortablement respirer.
Le sel de Reinecke a été mentionné pour la première fois par le chimiste allemand Albert Reinecke en 1863[5]. Il est obtenu en traitant du thiocyanate d'ammonium NH4SCN fondu (point de fusion de l'ordre de 145 à 150 °C) avec du dichromate d'ammonium (NH4)2Cr2O7[6].
↑ a et b(en) T. Saito, T. Takeuchi et R. Pepinsky, « The Crystal Structure of Ammonium Reineckate », Zeitschrift für Kristallographie - Crystalline Materials, vol. 106, nos 1-6, , p. 476-477 (DOI10.1524/zkri.1954.106.16.476, S2CID101134761, lire en ligne).
↑(en) Tim Peppel, Christin Schmidt et Martin Köckerling, « Synthesis, Properties, and Structures of Salts with the Reineckate Anion, [CrIII(NCS)4(NH3)2]–, and Large Organic Cations », Zeischrift für anorganische und allgemeine Chemie, vol. 637, no 10, , p. 1314-1321 (DOI10.1002/zaac.201100091, lire en ligne).
↑(en) A. Reinecke, « Ueber Rhodanchromammonium-Verbindungen », Justus Liebigs Annalen der Chemie, vol. 126, no 1, , p. 113-118 (DOI10.1002/jlac.18631260116, lire en ligne).