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Taal Aktie Komitee

Le Taal Aktie Komitee ou TAK (« comité d'action linguistique ») est un groupe d’action flamand né en 1972 de la rencontre entre l'avocat gantois Piet De Pauw, membre de la Volksunie et ancien membre du VMO ; et son client Roger Ransbeeck, ex-membre de la VMO[1]. Le TAK s’oppose à la présence des francophones en Flandre de crainte que s'étende la francisation de Bruxelles, souvent de façon violente, et entend être un acteur de l'indépendance de la Flandre. À l’instar des autres mouvements flamands d’extrême droite dont le VMO, le TAK plaide pour une amnistie des anciens collaborateurs nazis[2],[3].

  1. Karl Drabbe, « DE WORTELS VAN TAK », sur www.taalaktiekomitee.org, (consulté le )
  2. http://www.resistances.be/r0202.html#006, Le guide indispensable des antifascistes, Dictionnaire de l'extrême droite néerlandophone
  3. Hugo Gijsels, Le Vlaams Blok, Editions Luc Pire, p. 10, 1993

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