Du fait de la tradition rabbinique de consommer un plat chaud durant le chabbat sans contrevenir à l’interdiction de cuisiner, le plat mijote pendant une nuit depuis la veille[5]. On y ajoute souvent des kishke(en) (tripes farcies), des cous de dinde également farcis ou d’autres accompagnements[6]. Il existe également le tcholent végétarien contenant de la cornille, des pois chiches, de l'orge perlé, du gruau, de l'ail, des oignons frits, du miel, des topinambours, des pommes de terre et des œufs[7],[8].
Selon une étymologie populaire, le nom viendrait du français : « chaud » et « lent »[9]. Les séfarades marocains, algérois et tunisiens l’appellent dafina, tafina.
↑(en) Phyllis Glazer, « Let’s freek : Sub in legumes, whole grains — including freekeh — and Jerusalem artichokes for standard Shabbat cholent ingredients », The Times of Israel, (lire en ligne).
↑(en) Robin Robertson, The Plant-Based Slow Cooker : 225 Super-Tasty Vegan Recipes -topinambour Easy, Delicious, Healthy Recipes for Every Meal of the Day!, Harvard Common Press, , 352 p. (ISBN9781592339907, lire en ligne), p. 100.