Président Congrès juif mondial | |
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Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Mont Herzl (depuis ) |
Nom de naissance |
Binyamin Ze’ev Herzl |
Nationalité | |
Domicile | |
Formation | |
Activités | |
Mère |
Jeanette Herzl (d) |
Fratrie |
Pauline Herzl (d) |
Conjoint |
Julie Naschauer (1868 - 1907)[1] |
Enfant |
Hans Herzl (d) |
Parentèle |
Distinction |
Citoyen d'honneur d'Erzsébetváros (d) () |
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Archives conservées par |
Archives sionistes centrales (en) |
Theodor Herzl [ˈteːodoːɐ̯ ˈhɛɐtsl̩][2], en hébreu : Te'odor Hertsel (תאודור הרצל), nommé lors de sa Brit Milah (circoncision) Binyamin Ze'ev (בנימין זאב), surnommé « le visionnaire de l'État » (Khozeh HaMedinah[N 1] / חוזה המדינה), né le à Budapest (actuelle Hongrie) et mort le à Reichenau an der Rax (actuelle Autriche), est un journaliste et écrivain austro-hongrois, qui a joué un rôle historique de premier plan en créant en 1897 l'Organisation sioniste mondiale, à l'origine de la création de l'État d'Israël (14 mai 1948).
Auteur de Der Judenstaat (L'État des Juifs[N 2]) en 1896, il est l'un des premiers à mettre en place l'idée d'un État national pour les juifs. Il fonde l'Organisation sioniste mondiale lors du premier congrès sioniste tenu à Bâle en 1897. Le sionisme de Herzl rend rapidement obsolètes les mouvements sionistes antérieurs, notamment celui des Amants de Sion de Léon Pinsker, dont nombre de cadres rejoignent l'Organisation sioniste (notamment Meïr Dizengoff, cofondateur et premier maire de Tel Aviv).
Herzl est aussi le fondateur en 1899 du Fonds pour l'implantation juive, organisme financier chargé d'acheter des terres en Palestine (alors territoire de l'Empire ottoman), et d'en affecter l'usage à des agriculteurs juifs.
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