Vierge (titre)

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Motif : long TI sans aucune source qui commence par une erreur : "vierge" n'est pas un **titre honorifique** dans les Eglises catholique et orthodoxe. La paga se poursuit par des considérations personnelles non sourcées, dont une liste sortie de nulle part (que j'ai supprimée) ; elle se terminait par un contresens massif sur Jeanne d'Arc, affirmant que celle-ci avait été déclarée vierge par l'EC en 1920 (!), passage que j'ai supprimé. Nombreux contresens, dont Marie "consacrée" par le Saint-Esprit (???), passage supprimé. Le tout est à l'avenant. Rien à garder de cette création-traduction aberrante. Vous êtes invité à compléter l'article pour expliciter son admissibilité, en y apportant des sources secondaires de qualité, ainsi qu'à en discuter. Si rien n'est fait, cet article sera proposé au débat d'admissibilité un an au plus tard après la mise en place de ce bandeau.

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Le titre Vierge (en latin : Virgo, en grec ancien : Παρθένος) est un honorifique accordé aux saintes et bienheureuses, essentiellement employé au sein de l'Église orthodoxe ainsi que l'Église catholique^{[réf. nécessaire]}.

La chasteté est l'une des sept vertus au sein de la tradition catholique, énumérée par le pape Grégoire I^er à la fin du VI^e siècle. Dans la Première Lettre aux Corinthiens, l'apôtre Paul déclare que les vierges ainsi que les femmes non mariées « ont le souci des affaires du Seigneur, afin d’être sanctifiées dans son corps et son esprit ». Dans la Deuxième Lettre aux Corinthiens, chapitre XI, verset 2, Paul fait allusion à la métaphore de l'Église en tant que Mariée du Christ en s'adressant à la congrégation : « Je vous ai unis au seul Époux : vous êtes la vierge pure que j’ai présentée au Christ ».

Au sein de la théologie des Pères de l'Église, le prototype de la sainte vierge est Marie, la mère de Jésus.