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Volok

Nicolas Roerich. Volok, 1915. Route commerciale de la Volga.
Route d'Osudarev. Les troupes de Pierre Ier le Grand traînant les frégates de la baie Onega de la mer Blanche au lac Onega pour ravir la forteresse de Noteburg aux Suédois
Cosaques (droujina) Ermak dans l'Oural, sur le portage de Tagil.
Transport d'une strug par des pêcheurs russes. Fragment d'une carte des environs de Kola tirée d'un ouvrage du voyageur néerlandais Jacob van Heemskerk. XVIe siècle

Volok (translitération du russe : Во́лок), présent aussi dans les expressions « Perevoloka » (du russe : переволока), « Navolok » (du russe : Наволок) est en russe le mot pour « portage »; un morceau de terre émergée, généralement avec un seuil (aussi col, isthme) entre deux rivières (ou lacs, lagunes), à travers lequel les navires étaient traînés - « волоком » (volokom). De nombreuses villes russes comme Volokolamsk, Vyšne Voloček, Perevolosk (Переволоцкий (ru)), Voločisk dérivent du terme volok[1].

  1. Michel Devèze, « Contribution à l'histoire de la forêt russe (Des origines à 1914) », Cahiers du Monde Russe, vol. 5, no 3,‎ , p. 302–319 (DOI 10.3406/cmr.1964.1590, lire en ligne, consulté le )

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