François Villon (Grand Testament de Maistre François Villon, 1489). François Villon est incarcéré à Meung-sur-Loire pour des raisons inconnues durant l’été. Il est libéré le 2 octobre grâce à l’arrivée de Louis XI dans la ville mais, rentré à Paris, il est impliqué dans une rixe où François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé ; arrêté, torturé et condamné à la pendaison, il fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles qu’il écrit la Ballade des pendus, Il est aussi intitulée aussi l’Epitaphe Villon, où se manifeste son obsession des corps pourrissants. Le , le parlement de Paris commua la peine en dix ans de bannissement. Ce sont là les dernières traces des faits et gestes de François Villon que nous possédons.