Il était le propriétaire et président de la société privée Stanford Financial Group of Companies. Outre sa citoyenneté américaine, Stanford détient celle d'Antigua-et-Barbuda. Il a été le premier Américain à avoir été fait chevalier du Commonwealth[7] mais a perdu son titre à la suite de la révélation de son escroquerie[8] pour laquelle il a été condamné en 2012 et purge une peine de prison de 110 ans en Floride.
↑(en) Anderson Alderson, « Sir Allen Stanford: how the small-town Texas boy evaded scrutiny to become a big-time 'fraudster' », The Daily Telegraph, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Marina Hyde, « Thanks for the philanthropy, billionaires. Now pay your tax », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Chris Boutet, « Texas business magnate Allen Stanford facing $8B fraud charge », The National Post, (lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Personnel de rédaction, « Stanford, aides failed to appear for testimony: U.S. », Reuters, (lire en ligne).
↑Coordonnées de la poursuite judiciaire établie aux États-Unis.
opposants : Securities and Exchange Commission, Plaintiff v. Stanford International Bank Ltd., Stanford Group Company, Stanford Capital Management LLC, R. Allen Stanford, James M. Davis, Laura Pendergest-Holt, Defendants
opinion : case no. 3:09-cv-00298-L
cour : U.S. District Court for the Northern District of Texas (Dallas)
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↑(en) Simon Wilde, « Allen Stanford, England’s saviour; The billionaire behind plans for a new Twenty20 English Premier League has a history of seeing plans through to fruition », The Sunday Times, (lire en ligne).
↑(en) Dealbook, « No More Sir Allen: Stanford Loses Knighthood », New York Times, (lire en ligne, consulté le )