Allen Stanford

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Biographie
Naissance
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MexiaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Université Baylor
Eastern Hills High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Banquier, éditeur, journalisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Propriétaire de
Condamné pour
Fraude boursière (en) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Robert Allen Stanford[1], né le à Mexia, est un financier, philanthrope[2],[3], sponsor de sports professionnels et escroc américain qui a été condamné pour fraudes et association de malfaiteurs[4],[5]. Il est surnommé par la presse le « petit Madoff », en référence à l'escroquerie de Bernard Madoff sous la forme d'une « chaîne de Ponzi »[6].

Il était le propriétaire et président de la société privée Stanford Financial Group of Companies. Outre sa citoyenneté américaine, Stanford détient celle d'Antigua-et-Barbuda. Il a été le premier Américain à avoir été fait chevalier du Commonwealth[7] mais a perdu son titre à la suite de la révélation de son escroquerie[8] pour laquelle il a été condamné en 2012 et purge une peine de prison de 110 ans en Floride.

  1. (en) Anderson Alderson, « Sir Allen Stanford: how the small-town Texas boy evaded scrutiny to become a big-time 'fraudster' », The Daily Telegraph,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. (en) Marina Hyde, « Thanks for the philanthropy, billionaires. Now pay your tax », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. (en) Chris Boutet, « Texas business magnate Allen Stanford facing $8B fraud charge », The National Post,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. (en) Personnel de rédaction, « Stanford, aides failed to appear for testimony: U.S. », Reuters,‎ (lire en ligne).
  5. Coordonnées de la poursuite judiciaire établie aux États-Unis.
    • opposants : Securities and Exchange Commission, Plaintiff v. Stanford International Bank Ltd., Stanford Group Company, Stanford Capital Management LLC, R. Allen Stanford, James M. Davis, Laura Pendergest-Holt, Defendants
    • opinion : case no. 3:09-cv-00298-L
    • cour : U.S. District Court for the Northern District of Texas (Dallas)
    • url : sec.gov
  6. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Le Monde
  7. (en) Simon Wilde, « Allen Stanford, England’s saviour; The billionaire behind plans for a new Twenty20 English Premier League has a history of seeing plans through to fruition », The Sunday Times,‎ (lire en ligne).
  8. (en) Dealbook, « No More Sir Allen: Stanford Loses Knighthood », New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )

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