Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
La notion de contre-djihadisme ou anti-djihadisme est revendiquée dans l'Occident du début du XXIe siècle par divers courants politiques essentiellement d'Extrême droite partisans de l'Islamophobie[1],[2] et pronant une action terroriste[2] rassemblant des auteurs, des blogueurs, des groupes de réflexion, des mouvements de rue, etc., qui soutiennent l'idée que l'islam serait, au delà d'une religion, une idéologie qui constituerait une menace existentielle pour la civilisation occidentale. Ainsi, les antidjihadistes considèrent tous les musulmans comme une menace potentielle, notamment lorsqu’ils vivent déjà à l’intérieur des frontières occidentales[3] ; il s'agit d'une rationalisation de l'islamophobie.
Les musulmans occidentaux y sont présentés comme une « cinquième colonne », cherchant à collectivement déstabiliser l’identité et les valeurs des nations occidentales au profit d’un supposé mouvement islamique international qui chercherait à établir un califat dans les pays occidentaux[4],[5]. Le mouvement anti-djihad est diversement décrit comme anti-islamique[6], islamophobe[7],[1] incitant à la haine contre les musulmans[8] et d'extrême droite[1]. Parmi les personnalités influentes du mouvement figurent les blogueurs Pamela Geller et Robert Spencer aux États-Unis, ainsi que Geert Wilders et Tommy Robinson en Europe[9].
Le mouvement reçoit une attention internationale en 2011 à la suite des attentats perpétrés par le néo-nazi Anders Behring Breivik, qui appuie son action sur un manifeste qui exploite et reproduit abondamment les écrits de blogueurs anti-djihad, et à la suite de l'émergence de blogueurs anti-djihadistes et de mouvements de rue[Quoi ?] tels que l'English Defense League (EDL) et PEGIDA[5]. Le mouvement est représenté en Europe et en Amérique du Nord.
Selon les universitaires, les théories du complot constituent un élément clé du mouvement anti-djihad[10]. Le mouvement serait également fortement pro- israélien[5],[11].
↑ ab et c(en) Nick Denes, « Welcome to the Counterjihad: "Uncivil" Networks and European Social Space », Dahrendorf Symposia Series, Berlin, Dahrendorf Symposia, vol. 2012-12, (DOI10.1080/17448689.2012.738894, S2CID144605155, lire en ligne, consulté le )
↑José Zúquete, The Identitarians: The Movement against Globalism and Islam in Europe, Notre Dame, Indiana, University of Notre Dame Press, , 169–170 p. (ISBN978-0-268-10421-4, OCLC1055656293)
↑Akbarzadeh et Roose, « Muslims, Multiculturalism and the Question of the Silent Majority », Journal of Muslim Minority Affairs, vol. 31, no 3, , p. 309–325 (DOI10.1080/13602004.2011.599540, S2CID145595802)
↑Goodwin, Cutts et Janta-Lipinski, « Economic losers, protestors, islamophobes or xenophobes? Predicting public support for a counter-Jihad movement », Political Studies, vol. 64, no 1, , p. 4–26 (DOI10.1111/1467-9248.12159, S2CID145753701, lire en ligne [archive du ], consulté le )
↑Aked, Jones et Miller, « Islamophobia in Europe: How governments are enabling the far-right 'counter-jihad' movement », Spinwatch Public Interest Investigations, University of Bristol, , p. 7, 16, 34 (lire en ligne)
↑Ed Pertwee, 'Green Crescent, Crimson Cross': The Transatlantic 'Counterjihad' and the New Political Theology, London School of Economics, (lire en ligne), p. 8