Fort de Breendonk | ||
Vue aérienne du fort de Breendonk. | ||
Lieu | Willebroek | |
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Fait partie de | Ligne de défense Anvers-Namur | |
Type d’ouvrage | Fortification | |
Construction | 1909 | |
Matériaux utilisés | béton, terre, acier | |
Utilisation | 1913 à nos jours | |
Utilisation actuelle | Musée | |
Appartient à | État belge | |
Guerres et batailles |
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Coordonnées | 51° 03′ 25″ nord, 4° 20′ 30″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Belgique
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Le fort de Breendonk ou fort de Breendonck[note 1],[3],[2], situé dans la commune de Willebroeck, non loin de la localité homonyme qui elle se trouve dans la commune de Puers-Saint-Amand, à une vingtaine de kilomètres au sud d’Anvers, a servi de centre de détention (Auffanglager) dans un premier temps puis de camp de transit (Durchgangslager) durant la Seconde Guerre mondiale. Avec le camp de rassemblement de Malines, ils sont les deux seuls camps utilisés par les nazis en Belgique.
Préservé après le conflit, le site est aujourd’hui un important lieu de mémoire, visité par de nombreux groupes scolaires.
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« Breendonck, en Belgique, ou Oswiecim (Auschwitz) sont plus connus comme camps concentrationnaires ou d’extermination plutôt que comme des villages ordinaires. »
« André Simonart ... professeur en pharmacologie à l'Université catholique de Louvain, avait été incarcéré au fort de Breendonck avant d'être déporté au camp de Buchenwald. »
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