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Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 423, 1, -)[1] |
Germaine Richier, née le à Grans (Bouches-du-Rhône), et morte le à Montpellier (Hérault), est une sculptrice française.
Ses intimes la surnommaient L'Ouragane du nom d'une de ses sculptures réalisée en 1949. Car « derrière le paravent de ses bonnes manières, derrière son sourire de Joconde égarée dans un univers qui ne semblait pas être fait pour elle, Germaine Richier n'était que feu, tension, volcan toujours prêt à exploser[2]. »
La première monographie illustrée, hors catalogue d'exposition, Germaine Richier, l'Ouragane[3], signée Laurence Durieu, petite nièce de l'artiste, a paru en 2023.
Lors de la rétrospective à la Fondation Maeght, Geneviève Breerette souligne en 1996 « qu'elle reste un des talents les plus méconnus car on ne dispose pas de catalogue raisonné[4]. » Elle annonce la parution de l'ouvrage auquel Françoise Guiter, nièce de l'artiste travaille. On l'annonce toujours[5].
- « ark:/36937/s005afeaa5ed1f6d », sous le nom BANNINGER Mme O. (consulté le )
- Bernard Heitz, Télérama 1996, p. 92.
- Laurence Durieu, Germaine Richier, l'Ouragane, Lyon, Fage Editions, , 306 p. (ISBN 978 2 84975 735 2).
- Geneviève Breerette, Le Monde, 17 avril 1996, p. 22.
- catalogue raisonné de Germaine Richier annoncé date inconnue.