Homo ludens | |
Couverture de la première édition française | |
Auteur | Johan Huizinga |
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Pays | Pays-Bas |
Genre | essai |
Version originale | |
Langue | Néerlandais |
Éditeur | H. D. Tjeenk Willink - Haarlem |
Date de parution | 1938 |
Version française | |
Traducteur | Cécile Seresia |
Éditeur | Éditions Gallimard |
Collection | Les Essais |
Date de parution | 1951 |
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Homo ludens. Essai sur la fonction sociale du jeu est un livre publié pour la première fois en néerlandais en 1938 par un historien et spécialiste de l’histoire culturelle, Johan Huizinga.
Le livre a été ensuite traduit en français par Cécile Seresia et édité par Gallimard en 1951.
L'ouvrage porte sur la place du jeu dans les sociétés humaines. Huizinga suggère que le jeu est un élément essentiel et une condition nécessaire (bien que non suffisante) de la génération de la culture. Homo ludens a durablement inspiré le monde des sciences du jeu et de nombreux chercheurs comme Roger Caillois (Les jeux et les hommes, 1958).
Le titre du livre Homo ludens se compose de deux mots latins : homo qui fait référence à la famille des hominidés auquel appartient l'espèce humaine ; le mot ludens est le participe présent actif du verbe latin ludere, qui lui-même est apparenté au nom ludus.
L'expression « homo ludens » est entrée dans le langage courant comme synonyme de l’importance du jeu dans les sociétés humaines.