M. horridgei a été identifié en 2019[1] en réanalysant une étude de 1967 dans laquelle ces virus avaient été prises pour des soies présentes à la surface de S. cephaloptera[3]. Son épithète spécifique, horridgei, est un hommage au premier auteur de l'étude de 1967, George Adrian Horrige[1].
↑ ab et c(en) Barthélémy R-M, Faure Eric et Goto T, « Serendipitous Discovery in a Marine Invertebrate (Phylum Chaetognatha) of the Longest Giant Viruses Reported till Date », Virology: Current Research(en), vol. 3, no 1, , article no 1000110 (lire en ligne [PDF])
↑(en) Kenta Okamoto, Noyuki Miyazaki, Chihong Song, Filipe R. N. C. Maia, Hemanth K. N. Reddy et al., « Structural variability and complexity of the giant Pithovirus sibericum particle revealed by high-voltage electron cryo-tomography and energyfiltered electron cryo-microscopy », Scientific Reports, vol. 7, , article no 13291 (DOI10.1038/s41598-017-13390-4).
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « alpha », mais aucune balise <references group="alpha"/> correspondante n’a été trouvée