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Dès ses deux premiers films, Fun Bar Karaoke et 6ixtynin9, Pen-ek obtient un succès international[5].
Les spécialistes le considèrent tout simplement comme l'un des plus brillants cinéastes de la nouvelle génération. Lorsqu'il s'agit de construire les histoires et les intrigues, il adopte les anciens thèmes de la « recherche du foyer » et « la valeur d'une forte vie de famille »[6],[7].
↑(fr + en) Collectif (sous la direction de Bastian Meiresonne), Thai Cinema : Le cinéma thaïlandais, Asiaexpo Edition, , 255 p. (ISBN978-2-9528018-0-5), Quelque part entre Thong Lor, les Talking Heads, le public local et la foule des festivals, Pen-ek Ratanaruang a trouvé sa place (par Lim Li Min du Journal Thai Day) pages 120 à 126
↑(fr + en) Bastian Meiresonne (sous la direction de), Thai Cinema : Le cinéma thaïlandais, Asiexpo Edition, , 256 p. (ISBN978-2-9528018-0-5), Foyer, Nostalgie et Mémoire : le remède à la crise identitaire dans le Nouveau Cinéma Thaïlandais par Anchalee Chaiworaporn (pages 127 à 144) / Pen-ek Ratanaruang : Le foyer familial est toujours le dernier endroit sûr (pages 131 à 141) / Home, Nostalgia and Memory: the Remedy of Identity Crisis in New Thai Cinema (pages 145 à 158) / Pen-ek Ratanaruang: Home Is Always A Final Safe Place (pages 149 à 155)