La surexploitation du « capital nature » induit une altération des écosystèmes, parfois irréversible aux échelles humaines de temps, avec d'éventuels impacts collatéraux à échelle planétaire (sur le climat en particulier). Les enjeux et solutions passent par une meilleure connaissance des seuils à ne pas dépasser et la restauration de l'équilibre entre prélèvements et conservation.
La prise de conscience du caractère « fini » du capital naturel, et de l'interdépendance de ses éléments et de ces éléments avec les conditions de vie de l'humanité, et le capital financier semble récente. C'est un des fondements du « développement soutenable » ou des théories de la « décroissance » soutenable ou conviviale.
↑Selsley Pré communal de Selsley (Wikipédia anglophone)