Syndicalisme jaune

Couverture du livre Les jaunes de France et la question ouvrière de Pierre Biétry, paru en 1906.

Le « syndicalisme jaune » (connu également sous les appellations de mouvement jaune, syndicats jaunes, « les jaunes » ou « droite prolétarienne[1] ») est un mouvement syndicaliste français, connu également sous cette dénomination dans d'autres pays, tant francophones qu'anglophones (« yellow unions »), et en Italie aussi (« i gialli »).

Cette forme de syndicalisme (constitué en opposition aux syndicats « rouges », c'est-à-dire socialistes ou communistes) refuse certains modes d'action comme la grève et l'affrontement avec le patronat. Pour les grévistes, les jaunes sont les non-grévistes. Ce qualificatif, en se généralisant, a pris un sens péjoratif, désignant les « traîtres ».


Syndicalisme jaune

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