Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
TICOM (abréviation anglaise de Target Intelligence Committee ou Comité du renseignement ciblé) était une opération secrète menée par les forces alliées et mise en place pendant la Seconde Guerre mondiale pour trouver et saisir les ressources du renseignement allemand, en particulier dans le domaine de la cryptologie et du renseignement électromagnétique[1].
L'opération demeura classifiée pendant 50 ans, les premiers travaux publiés à ce sujet datant de 2001 notamment par le journaliste James Bamford, spécialiste du programme américain d'espionnage électronique Echelon[1],[2]. Les archives ont été publiés par la National Security Agency (NSA) à partir de 2009 et sont désormais disponibles en ligne sur son site[3].
Cette opération plus confidentielle a été opérée aux côtés d'autres efforts des Alliés occidentaux pendant l'effondrement du Troisième Reich à partir d'avril 1945[1]. Tout comme les opérations américaines Paperclip, Alsos et britannique Surgeon, elle visait à extraire des informations et du personnel scientifiques et technologiques allemands pendant et après la fin de la Seconde Guerre Mondiale[1],[3].
↑ abc et d(en) Randy REZABEK, « TICOM: The Last Great Secret of World War II », Intelligence and National Security, vol. 27, no 4, , p. 513-530 (lire en ligne)
↑(en) Bamford, James, Body of Secrets: How America's NSA & Britain's GCHQ Eavesdrop On The World (new edition), London, Arrow, (ISBN978-0099427742)